Le jeu géographique
+3
alain90
stosskopf
THIERRY 25
7 participants
Page 32 sur 39
Page 32 sur 39 • 1 ... 17 ... 31, 32, 33 ... 35 ... 39
Re: Le jeu géographique
LES AMIS
D comme DUDELANGE
Dudelange, ville dynamique
Dudelange, la quatrième ville du pays, d'une superficie de plus de 21.300 km2, compte plus de 19.000 habitants. L’ancienne ville sidérurgique a réussi sa reconversion grâce à son dynamisme et sa diversité et a connu une forte croissance démographique depuis l'ère industrielle et ceci surtout grâce à l'immigration. En effet, les usines employaient un grand nombre de main d'œuvre étrangère. Aujourd'hui, la population étrangère représente plus de 38% de la population locale, réunissant les ressortissants de plus de 90 nationalités différentes. Cet amalgame fait de la ville un lieu de rencontre multiculturel qui joue un rôle primordial dans le volet de la communication afin de faciliter l'accès à l'information à tout un chacun.
Dudelange dispose de nombreux atouts: l’existence d’un environnement sain, l’entourage d’une nature généreuse, la présence d’entreprises performantes, des équipements sportifs les plus variés, une riche vie culturelle et une qualité de vie urbaine exemplaire. Une vie associative très dense structure la vie en communauté.
La culture
La Ville de Dudelange est très active au niveau culturel et organise depuis des années des concerts de jazz et de musique du monde. L'offre culturelle est élargie par des infrastructures tels le centre culturel régional « opderschmelz », les centres d'art contemporain Dominique Lang et Nei Liicht, le Centre régional de documentation sur les migrations humaines, le Musée d'histoire locale et d'histoire naturelle, le Musée des Enrôlés de Force ou encore la Bibliothèque municipale régionale.
Parallèlement, de grandes fêtes et manifestations destinées au grand public sont organisées régulièrement. Des événements comme le Zeltik (festival de musique celtique), la Fête de la Musique, le Summerstage, la Fête des Cultures ou le marché de Noël médiéval attirent chaque année de nombreux visiteurs.
Le nouveau projet des friches industrielles
La ville se développe à tous les niveaux et des projets de plus ou moins grande envergure sont à l’ordre du jour, et surtout au niveau du développement urbain et rural. Ainsi, les friches industrielles font l’objet du projet Neischmelz. Ce lieu imprégné d’histoire sera converti en un nouveau quartier, dédié au développement durable en y créant logements, emplois et zones publiques de rencontre et de loisirs. Dans ce contexte, le Fonds pour le Développement du Logement et de l’Habitat, en partenariat avec la Ville de Dudelange, a organisé en 2009 un concours urbanistique international pour la création d’un nouveau quartier se situant sur les anciennes friches industrielles à Dudelange. Ce nouvel éco-quartier fera la jonction entre les quartiers Schmelz et Italie et s’intègrera dans un concept global de développement urbain de la ville. Le projet transformera de manière innovatrice des structures existantes tout en respectant les valeurs économiques, écologiques et sociales de Dudelange.
D comme DUDELANGE
Dudelange, ville dynamique
Dudelange, la quatrième ville du pays, d'une superficie de plus de 21.300 km2, compte plus de 19.000 habitants. L’ancienne ville sidérurgique a réussi sa reconversion grâce à son dynamisme et sa diversité et a connu une forte croissance démographique depuis l'ère industrielle et ceci surtout grâce à l'immigration. En effet, les usines employaient un grand nombre de main d'œuvre étrangère. Aujourd'hui, la population étrangère représente plus de 38% de la population locale, réunissant les ressortissants de plus de 90 nationalités différentes. Cet amalgame fait de la ville un lieu de rencontre multiculturel qui joue un rôle primordial dans le volet de la communication afin de faciliter l'accès à l'information à tout un chacun.
Dudelange dispose de nombreux atouts: l’existence d’un environnement sain, l’entourage d’une nature généreuse, la présence d’entreprises performantes, des équipements sportifs les plus variés, une riche vie culturelle et une qualité de vie urbaine exemplaire. Une vie associative très dense structure la vie en communauté.
La culture
La Ville de Dudelange est très active au niveau culturel et organise depuis des années des concerts de jazz et de musique du monde. L'offre culturelle est élargie par des infrastructures tels le centre culturel régional « opderschmelz », les centres d'art contemporain Dominique Lang et Nei Liicht, le Centre régional de documentation sur les migrations humaines, le Musée d'histoire locale et d'histoire naturelle, le Musée des Enrôlés de Force ou encore la Bibliothèque municipale régionale.
Parallèlement, de grandes fêtes et manifestations destinées au grand public sont organisées régulièrement. Des événements comme le Zeltik (festival de musique celtique), la Fête de la Musique, le Summerstage, la Fête des Cultures ou le marché de Noël médiéval attirent chaque année de nombreux visiteurs.
Le nouveau projet des friches industrielles
La ville se développe à tous les niveaux et des projets de plus ou moins grande envergure sont à l’ordre du jour, et surtout au niveau du développement urbain et rural. Ainsi, les friches industrielles font l’objet du projet Neischmelz. Ce lieu imprégné d’histoire sera converti en un nouveau quartier, dédié au développement durable en y créant logements, emplois et zones publiques de rencontre et de loisirs. Dans ce contexte, le Fonds pour le Développement du Logement et de l’Habitat, en partenariat avec la Ville de Dudelange, a organisé en 2009 un concours urbanistique international pour la création d’un nouveau quartier se situant sur les anciennes friches industrielles à Dudelange. Ce nouvel éco-quartier fera la jonction entre les quartiers Schmelz et Italie et s’intègrera dans un concept global de développement urbain de la ville. Le projet transformera de manière innovatrice des structures existantes tout en respectant les valeurs économiques, écologiques et sociales de Dudelange.
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] les amis
DUNKERQUE
Dunkerque est une commune française, sous-préfecture du département du Nord. Avec 91 386 habitants, la ville est la quatrième plus peuplée de la région Nord-Pas-de-Calais, la première hors de la métropole lilloise.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
DUNKERQUE
Dunkerque est une commune française, sous-préfecture du département du Nord. Avec 91 386 habitants, la ville est la quatrième plus peuplée de la région Nord-Pas-de-Calais, la première hors de la métropole lilloise.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
CLAUDIUS ET MES POTOS
N comme NILVANGE (LA VILLE DE MON ENFANCE)
Nilvange est une petite commune située dans l’Est de la France, en Lorraine, plus précisément dans le département de la Moselle. Elle a surtout été connue pour la sidérurgie qui existait dans la vallée de la Fensch, étant limitrophe de Hayange, berceau du fer et fief de la famille Wendel.
N comme NILVANGE (LA VILLE DE MON ENFANCE)
Nilvange est une petite commune située dans l’Est de la France, en Lorraine, plus précisément dans le département de la Moselle. Elle a surtout été connue pour la sidérurgie qui existait dans la vallée de la Fensch, étant limitrophe de Hayange, berceau du fer et fief de la famille Wendel.
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
les amis
LEMNOS
Lemnos ou Límnos (en grec ancien Λῆμνος, en grec moderne Λήμνος) est une île grecque du nord-est de la mer Égée, située entre la péninsule du mont Athos à l'ouest, les îles de Thasos et Samothrace au nord, la Turquie (et l'île turque de Gökçeada/Ténédos) à l'est, Lesbos au sud-est, Agios Efstrátios et les Sporades au sud-ouest. Elle forme un dème (municipalité) et un district régional de la périphérie d'Égée-Septentrionale. Avant la réforme Kallikratis (2010), elle était rattachée au nome de Lesbos.
Sa superficie est de 478 km2, et sa population d'environ 18 000 habitants. Elle culmine à 470 m d’altitude.
On trouve à Límnos plusieurs sites archéologiques, dont le sanctuaire des Cabires, où étaient vénérés les Grands Dieux avant que Samothrace ne prenne le relais.
Límnos abrite une base militaire aérienne
.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dans la mythologie grecque, Lemnos était la résidence d'Héphaïstos, le dieu forgeron, et son palais et ses forges sont situées dans le Mosychlos, volcan endormi, devenu une des montagnes de l'île, au pied duquel se trouvait l'un de ses temples. Selon Homère, c'est là qu'échoue le dieu, projeté hors de l'Olympe par Zeus pour avoir voulu s'interposer dans une dispute entre Héra et lui. Il continue ensuite à vivre à Lemnos, où la population locale, les Sintiens, lui bâtit un temple, et où se trouve sa forge. Aux temps héroïques tout comme aux temps classiques, le nom de la ville principale de l'île, consacrée à Héphaïstos, était Héphaïstia.
Thoas, fils d'Ariane et de Dionysos, beau-père de Jason, est roi de Lemnos. Au cours de leur voyage vers la Colchide, les Argonautes trouvent l'île gouvernée par la reine Hypsipyle et peuplée uniquement de femmes. La raison en était que celles-ci avaient été affligées d'une odeur insupportable, par la déesse Aphrodite, parce qu'elles négligeaient son culte. Abandonnées par leurs maris, par dépit, elles avaient fini par tuer tous les mâles de l'île. Certains des héros s'unissent avec ces femmes pour donner naissance au peuple des Minyens, qui ensuite furent chassés par les Pélasges.
En route vers Troie, l'île était une étape entre la Grèce et la côte asiatique : Eunée, roi de l'île, offre à Agamemnon et Ménélas de nombreux présents ; Eunée leur offre entre autres beaucoup de vin, que les Grecs apprécient fortement : il devient ainsi leur commerçant en vins officiel, trafic fructueux. Achille vend contre un cratère Sidonien le fils du roi Priam Lycaon, son captif ; ce cratère est ensuite offert par Eunée à Patrocle et devient un des prix de ses jeux funèbres. C'est sur cette île qu'Ulysse décide d'abandonner Philoctète, mordu au pied par un serpent, qui poussait des gémissements et dégageait une puanteur qui indisposaient ses compagnons de voyage. Sur l'île, présentée comme déserte par Sophocle dans sa tragédie, il peut survivre en chassant grâce à l'arc magique d'Héraclès. Or ces armes sont indispensables à la victoire des Grecs sur les Troyens ; c'est pourquoi Ulysse revient avec Néoptolème pour s'en emparer par la ruse. On peut toujours voir la grotte de Philoctète à Lemnos.
Selon les auteurs anciens, confirmés par le voyageur français Pierre Belon au XVIe siècle le soir du solstice d'été l'ombre du Mont Athos, pourtant distant de 70 km, s'étend jusqu'à la place de Myrina, sur laquelle se trouvait dans l'Antiquité la statue d'un bœuf de bronze. Plutarque cite même un vers (̉Άθως καλύψει πλευρά Λημνίας βοός : le mont Athos couvrira le flanc du bœuf de Lemnos) qui était devenu proverbial, s'appliquant à ceux qui cherchaient à obscurcir la gloire et la réputation des autres par leurs calomnies.
LEMNOS
Lemnos ou Límnos (en grec ancien Λῆμνος, en grec moderne Λήμνος) est une île grecque du nord-est de la mer Égée, située entre la péninsule du mont Athos à l'ouest, les îles de Thasos et Samothrace au nord, la Turquie (et l'île turque de Gökçeada/Ténédos) à l'est, Lesbos au sud-est, Agios Efstrátios et les Sporades au sud-ouest. Elle forme un dème (municipalité) et un district régional de la périphérie d'Égée-Septentrionale. Avant la réforme Kallikratis (2010), elle était rattachée au nome de Lesbos.
Sa superficie est de 478 km2, et sa population d'environ 18 000 habitants. Elle culmine à 470 m d’altitude.
On trouve à Límnos plusieurs sites archéologiques, dont le sanctuaire des Cabires, où étaient vénérés les Grands Dieux avant que Samothrace ne prenne le relais.
Límnos abrite une base militaire aérienne
.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dans la mythologie grecque, Lemnos était la résidence d'Héphaïstos, le dieu forgeron, et son palais et ses forges sont situées dans le Mosychlos, volcan endormi, devenu une des montagnes de l'île, au pied duquel se trouvait l'un de ses temples. Selon Homère, c'est là qu'échoue le dieu, projeté hors de l'Olympe par Zeus pour avoir voulu s'interposer dans une dispute entre Héra et lui. Il continue ensuite à vivre à Lemnos, où la population locale, les Sintiens, lui bâtit un temple, et où se trouve sa forge. Aux temps héroïques tout comme aux temps classiques, le nom de la ville principale de l'île, consacrée à Héphaïstos, était Héphaïstia.
Thoas, fils d'Ariane et de Dionysos, beau-père de Jason, est roi de Lemnos. Au cours de leur voyage vers la Colchide, les Argonautes trouvent l'île gouvernée par la reine Hypsipyle et peuplée uniquement de femmes. La raison en était que celles-ci avaient été affligées d'une odeur insupportable, par la déesse Aphrodite, parce qu'elles négligeaient son culte. Abandonnées par leurs maris, par dépit, elles avaient fini par tuer tous les mâles de l'île. Certains des héros s'unissent avec ces femmes pour donner naissance au peuple des Minyens, qui ensuite furent chassés par les Pélasges.
En route vers Troie, l'île était une étape entre la Grèce et la côte asiatique : Eunée, roi de l'île, offre à Agamemnon et Ménélas de nombreux présents ; Eunée leur offre entre autres beaucoup de vin, que les Grecs apprécient fortement : il devient ainsi leur commerçant en vins officiel, trafic fructueux. Achille vend contre un cratère Sidonien le fils du roi Priam Lycaon, son captif ; ce cratère est ensuite offert par Eunée à Patrocle et devient un des prix de ses jeux funèbres. C'est sur cette île qu'Ulysse décide d'abandonner Philoctète, mordu au pied par un serpent, qui poussait des gémissements et dégageait une puanteur qui indisposaient ses compagnons de voyage. Sur l'île, présentée comme déserte par Sophocle dans sa tragédie, il peut survivre en chassant grâce à l'arc magique d'Héraclès. Or ces armes sont indispensables à la victoire des Grecs sur les Troyens ; c'est pourquoi Ulysse revient avec Néoptolème pour s'en emparer par la ruse. On peut toujours voir la grotte de Philoctète à Lemnos.
Selon les auteurs anciens, confirmés par le voyageur français Pierre Belon au XVIe siècle le soir du solstice d'été l'ombre du Mont Athos, pourtant distant de 70 km, s'étend jusqu'à la place de Myrina, sur laquelle se trouvait dans l'Antiquité la statue d'un bœuf de bronze. Plutarque cite même un vers (̉Άθως καλύψει πλευρά Λημνίας βοός : le mont Athos couvrira le flanc du bœuf de Lemnos) qui était devenu proverbial, s'appliquant à ceux qui cherchaient à obscurcir la gloire et la réputation des autres par leurs calomnies.
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
CLAUDIUS ET LES AMIS
M comme MANOSQUE
Cité "Manoasca" en 978, étymologie celte qui évoque source et rivière.
La fondation de la ville de Manosque est probablement d'origine celte, elle fut occupée par les Romains, puis détruite par les Sarrasins au haut Moyen Age. La ville fût reconstruite par "Osco de Manosco", d'où le nom de Manosque (?), selon des informations locales reprises par une plaque de marbre, dans la partie ouest de l'ancien centre de la ville.
La reine Jeanne (comtesse de Provence) lui donna le surnom de Manosque-la-Fleurie, puis François Ier celui de la "Pudique" (une légende assure qu'une jeune fille se défigura plutôt que de céder au roi).
Patrie de nombreux naturalistes et écrivains dont Elémir Bourges (19ème), Jean Giono (1895 - 1970) et Pierre Magnan.
La ville de Manosque est une ville bâtie sur un contrefort des collines du Luberon oriental, au-dessus de la plaine alluviale de la Durance.
Plan d'eau "Les Vannades" (sports nautiques).
Piscine municipale.
Randonnées dans le Luberon.
Situation géographique :
La ville de Manosque est située au sud-ouest du département des Alpes-de-Haute-Provence.
Manosque est proche : des lacs d'Esparron et de Sainte-Croix (Gorges du Verdon), et, via l'A51, des premières stations de ski des Alpes du sud, au nord, et d'Aix-en-Provence et de la méditerranée, au sud.
M comme MANOSQUE
Cité "Manoasca" en 978, étymologie celte qui évoque source et rivière.
La fondation de la ville de Manosque est probablement d'origine celte, elle fut occupée par les Romains, puis détruite par les Sarrasins au haut Moyen Age. La ville fût reconstruite par "Osco de Manosco", d'où le nom de Manosque (?), selon des informations locales reprises par une plaque de marbre, dans la partie ouest de l'ancien centre de la ville.
La reine Jeanne (comtesse de Provence) lui donna le surnom de Manosque-la-Fleurie, puis François Ier celui de la "Pudique" (une légende assure qu'une jeune fille se défigura plutôt que de céder au roi).
Patrie de nombreux naturalistes et écrivains dont Elémir Bourges (19ème), Jean Giono (1895 - 1970) et Pierre Magnan.
La ville de Manosque est une ville bâtie sur un contrefort des collines du Luberon oriental, au-dessus de la plaine alluviale de la Durance.
Plan d'eau "Les Vannades" (sports nautiques).
Piscine municipale.
Randonnées dans le Luberon.
Situation géographique :
La ville de Manosque est située au sud-ouest du département des Alpes-de-Haute-Provence.
Manosque est proche : des lacs d'Esparron et de Sainte-Croix (Gorges du Verdon), et, via l'A51, des premières stations de ski des Alpes du sud, au nord, et d'Aix-en-Provence et de la méditerranée, au sud.
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
les amis
NIL
Le Nil (prononcé [nil ]) est un fleuve d'Afrique. Avec une longueur d'environ 6 700 km, c'est avec le fleuve Amazone, le plus long fleuve du monde. Il est issu de la rencontre du Nil Blanc et du Nil Bleu. Le Nil blanc (Nahr-el-Abiad) prend sa source au lac Victoria (Ouganda, Kenya, Tanzanie) ; le Nil bleu (Nahr-el-Azrak) est issu du lac Tana (Éthiopie). Ses deux branches s'unissant à Khartoum, capitale du Soudan actuel, le Nil se jette dans la Méditerranée en formant un delta au nord de l'Égypte. En comptant ses deux branches, le Nil traverse le Rwanda, le Burundi, la Tanzanie, l'Ouganda, l'Éthiopie, le Soudan du Sud, le Soudan et l'Égypte. Il longe également le Kenya et la République démocratique du Congo (respectivement avec les lacs Victoria et Albert), et son bassin versant concerne aussi l'Érythrée grâce à son affluent du Tekezé.
Le Nil est la voie qu'empruntaient les Égyptiens pour se déplacer. Il apporte la vie en fertilisant la terre et garantit l'abondance. Il joua un rôle très important dans l'Égypte antique, du point de vue économique, social (c'était autour de lui que se trouvaient les plus grandes villes), agricole (grâce au précieux limon des crues) et religieux. Fleuve nourricier d'un grand peuple, il fut divinisé sous le nom d'Hâpynotes , personnification divine du Nil dans la mythologie égyptienne.
La crue du Nil, qui avait lieu chaque été et qui apportait le limon noir permettant la culture de ses rives, est restée longtemps un phénomène inexpliqué. C'est de ce limon noir que vient le nom antique de l'Égypte, Kemet, qui veut dire « la terre noire ».
De nos jours, les eaux limoneuses du Nil sont captées et redistribuées sur les terres agricoles grâce aux barrages de Ziftah, d'Assiout, d'Hammadi, d'Esna et surtout des deux barrages géants d'Assouan, l'ancien et le grand barrage, dont la construction dans les années 1970 a nécessité le déplacement de plusieurs temples, dont ceux d'Abou Simbel, qui auraient été noyés dans la retenue du lac Nasser.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le Nil à l'Île d'Aguilkia.
NIL
Le Nil (prononcé [nil ]) est un fleuve d'Afrique. Avec une longueur d'environ 6 700 km, c'est avec le fleuve Amazone, le plus long fleuve du monde. Il est issu de la rencontre du Nil Blanc et du Nil Bleu. Le Nil blanc (Nahr-el-Abiad) prend sa source au lac Victoria (Ouganda, Kenya, Tanzanie) ; le Nil bleu (Nahr-el-Azrak) est issu du lac Tana (Éthiopie). Ses deux branches s'unissant à Khartoum, capitale du Soudan actuel, le Nil se jette dans la Méditerranée en formant un delta au nord de l'Égypte. En comptant ses deux branches, le Nil traverse le Rwanda, le Burundi, la Tanzanie, l'Ouganda, l'Éthiopie, le Soudan du Sud, le Soudan et l'Égypte. Il longe également le Kenya et la République démocratique du Congo (respectivement avec les lacs Victoria et Albert), et son bassin versant concerne aussi l'Érythrée grâce à son affluent du Tekezé.
Le Nil est la voie qu'empruntaient les Égyptiens pour se déplacer. Il apporte la vie en fertilisant la terre et garantit l'abondance. Il joua un rôle très important dans l'Égypte antique, du point de vue économique, social (c'était autour de lui que se trouvaient les plus grandes villes), agricole (grâce au précieux limon des crues) et religieux. Fleuve nourricier d'un grand peuple, il fut divinisé sous le nom d'Hâpynotes , personnification divine du Nil dans la mythologie égyptienne.
La crue du Nil, qui avait lieu chaque été et qui apportait le limon noir permettant la culture de ses rives, est restée longtemps un phénomène inexpliqué. C'est de ce limon noir que vient le nom antique de l'Égypte, Kemet, qui veut dire « la terre noire ».
De nos jours, les eaux limoneuses du Nil sont captées et redistribuées sur les terres agricoles grâce aux barrages de Ziftah, d'Assiout, d'Hammadi, d'Esna et surtout des deux barrages géants d'Assouan, l'ancien et le grand barrage, dont la construction dans les années 1970 a nécessité le déplacement de plusieurs temples, dont ceux d'Abou Simbel, qui auraient été noyés dans la retenue du lac Nasser.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le Nil à l'Île d'Aguilkia.
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
CLAUDIUS
L comme LENS
Epoque médiévale
Période Mérovingienne
Le nom de Lens apparaît pour la première fois pendant la période mérovingienne sous la forme de “ Lenna Cas ” qui signifierait “ Forteresse des Sources ”. La Ville pourrait cependant avoir une origine plus ancienne (époque gallo-romaine) qui ne peut être attestée.
Les comtés de Lens
Les fortifications de Lens (complètement disparues aujourd’hui) remontaient aux invasions normandes. La châtellenie de Lens, étendue sur la majeure partie de la Gohelle, avait plusieurs seigneurs sous sa dépendance. Les comtes de Lens ont été, pour la plupart, comtes de Boulogne (ils étaient représentés à Lens par le châtelain). Eustache II fut le plus illustre des comtes de Lens et de Boulogne. En 1057, il épousa Ide de Bouillon. En 1066, il commandait une partie de l’armée de Guillaume-le-Conquérant à Hastings. En 1071, Eustache prit part à de nouvelles batailles à propos de la succession de Flandre. Il mourut vers 1095. Ide lui survécut jusque 1113. Elle était née au château de Bouillon (au sud-est de l’actuelle Belgique) vers 1040. Très pieuse, ses donations aux églises, aux couvents, aux hôpitaux sont innombrables, ses fondations nombreuses. Elle s’éteignit au monastère de La Capelle, près de Calais, et fut inhumée au Wast, près de Boulogne. Ide a été béatifiée et est devenue la patronne de Lens. Les trois fils d’Eustache II et d’Ide de Bouillon, Eustache, Godefroy et Baudouin prirent part à la Première Croisade à la tête des armées. Godefroy en fut le principal chef. L’expédition se termina par la prise de Jérusalem le 15 juillet 1099. Godefroy de Bouillon devint le premier roi de Jérusalem.
Lens sous le comté d’Artois
A l’époque féodale, Lens était liée au comté d’Artois. L’Artois (et Lens), qui appartenait au comte de Flandre, fut rattaché à la Couronne de France en 1180. Au XIIIè siècle, le roi Louis VIII donna à la ville la charte qui l’érigea en commune.
Lens à l’époque féodale
Au Moyen-Age, Lens était un gros bourg rural : les foires et marchés y étaient importants. Les barques portées par la Deûle se chargeaient et se déchargeaient à son rivage. La rivière actionnait quatre moulins ; un autre à vent dominait les remparts. Lens se trouvait sur la plus ancienne route qui menait les marchands de la Flandre septentrionale, de Lille, Seclin, Pont-à-Vendin et Lens à Arras et au tonlieu (nom désignant autrefois le bureau et le droit payé à l’entrée des villes) de Bapaume (actuel chef-lieu de canton du Pas-de-Calais), en direction de Paris. Lens avait son échevinage et sa milice ; sa prévôté et son baillage étaient parmi les plus importants de l’Artois.
Les fortifications
Lens eut beaucoup à souffrir de la Guerre de Cent Ans et des hostilités contre la Flandre. En 1303, la ville fut brûlée par les Flamands. A l’époque médiévale puis à l’époque moderne, Lens a été, au total, l’objet d’une quinzaine de sièges (en particulier en 1478, puis 6 fois entre 1493 et 1590 et 5 fois entre 1641 et 1648). Les fortifications furent démantelées à partir de 1448. Le dernier démantèlement fut ordonné par le gouvernement de Louis XIV, le 25 mai 1652 et terminé en 1657.
L comme LENS
Epoque médiévale
Période Mérovingienne
Le nom de Lens apparaît pour la première fois pendant la période mérovingienne sous la forme de “ Lenna Cas ” qui signifierait “ Forteresse des Sources ”. La Ville pourrait cependant avoir une origine plus ancienne (époque gallo-romaine) qui ne peut être attestée.
Les comtés de Lens
Les fortifications de Lens (complètement disparues aujourd’hui) remontaient aux invasions normandes. La châtellenie de Lens, étendue sur la majeure partie de la Gohelle, avait plusieurs seigneurs sous sa dépendance. Les comtes de Lens ont été, pour la plupart, comtes de Boulogne (ils étaient représentés à Lens par le châtelain). Eustache II fut le plus illustre des comtes de Lens et de Boulogne. En 1057, il épousa Ide de Bouillon. En 1066, il commandait une partie de l’armée de Guillaume-le-Conquérant à Hastings. En 1071, Eustache prit part à de nouvelles batailles à propos de la succession de Flandre. Il mourut vers 1095. Ide lui survécut jusque 1113. Elle était née au château de Bouillon (au sud-est de l’actuelle Belgique) vers 1040. Très pieuse, ses donations aux églises, aux couvents, aux hôpitaux sont innombrables, ses fondations nombreuses. Elle s’éteignit au monastère de La Capelle, près de Calais, et fut inhumée au Wast, près de Boulogne. Ide a été béatifiée et est devenue la patronne de Lens. Les trois fils d’Eustache II et d’Ide de Bouillon, Eustache, Godefroy et Baudouin prirent part à la Première Croisade à la tête des armées. Godefroy en fut le principal chef. L’expédition se termina par la prise de Jérusalem le 15 juillet 1099. Godefroy de Bouillon devint le premier roi de Jérusalem.
Lens sous le comté d’Artois
A l’époque féodale, Lens était liée au comté d’Artois. L’Artois (et Lens), qui appartenait au comte de Flandre, fut rattaché à la Couronne de France en 1180. Au XIIIè siècle, le roi Louis VIII donna à la ville la charte qui l’érigea en commune.
Lens à l’époque féodale
Au Moyen-Age, Lens était un gros bourg rural : les foires et marchés y étaient importants. Les barques portées par la Deûle se chargeaient et se déchargeaient à son rivage. La rivière actionnait quatre moulins ; un autre à vent dominait les remparts. Lens se trouvait sur la plus ancienne route qui menait les marchands de la Flandre septentrionale, de Lille, Seclin, Pont-à-Vendin et Lens à Arras et au tonlieu (nom désignant autrefois le bureau et le droit payé à l’entrée des villes) de Bapaume (actuel chef-lieu de canton du Pas-de-Calais), en direction de Paris. Lens avait son échevinage et sa milice ; sa prévôté et son baillage étaient parmi les plus importants de l’Artois.
Les fortifications
Lens eut beaucoup à souffrir de la Guerre de Cent Ans et des hostilités contre la Flandre. En 1303, la ville fut brûlée par les Flamands. A l’époque médiévale puis à l’époque moderne, Lens a été, au total, l’objet d’une quinzaine de sièges (en particulier en 1478, puis 6 fois entre 1493 et 1590 et 5 fois entre 1641 et 1648). Les fortifications furent démantelées à partir de 1448. Le dernier démantèlement fut ordonné par le gouvernement de Louis XIV, le 25 mai 1652 et terminé en 1657.
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
A tous.
N comme Nastringues...............pas bastringue.
Dordogne
Population (2011) 112 hab.
N comme Nastringues...............pas bastringue.
Dordogne
Population (2011) 112 hab.
alain90- president d hippodrome
- Nombre de messages : 37521
Age : 75
Réputation : 570
Date d'inscription : 16/10/2011
Re: Le jeu géographique
LES POTOS
S comme SILVANGE
MARANGE SILVANGE TERNEL
Marange n’a pas toujours été la petite commune tranquille que nous connaissons aujourd’hui !
Comme tout site boisé, les Côtes de Moselle, avec leur relief, abris et éperons rocheux, attirèrent les anciennes populations.
Au lieu-dit « Les Hattes » (huttes, habitations), on a découvert des traces de civilisations préhistoriques, notamment par la présence d’une pierre de serpentine d’une moitié de ciseaux en fer et surtout par l’occupation du terrain en forme de dénivellations, laissant supposer des habitations bien organisées et structurées.
Certaines étymologies gaéliques de nos lieux-dits laissent à penser une occupation continue avant la période romaine, voire gauloise.
Une des hypothèses les plus plausibles est que Marange fut un lieu de culte gaulois lentement assimilé au panthéon romain et finalement dédié au Dieu Mars (Marvia en latin), dieu de la guerre.
On retrouve en effet, dans un écrit daté de 1236, l’appellation de Marvia por Marange. Ce ne serait pas un cas isolé puisque Marville, village du canton de Montmédy, a la même, origine.
Quant à Silvange, orthographié Sylvange jusqu’au milieu du 19ème siècle, prouvant par là son étymologie latine (sylva = forêt), on sait peu de chose sur son origine ; mais son emplacement favorable sur une butte dominant la Moselle et la proximité de la Voie Romaine, ainsi que son appartenance à Rombas jusqu’à la Révolution, nous laisse supposer que ce hameau (qui ne comptait que 73 habitants en 1813), ait pu succéder à un camp militaire romain servant de poste d’observation avancé pour le compte de la garnison de la Tour de Drince.
Les premiers écrits officiels mentionnant Marange datent de janvier 739 et en font la propriété personnelle de Pépin-le Bref.
L’on retrouve Marange sous la coupe carolingienne, lié à Thionville (dont nous ne serons séparés qu’à la Révolution).
L’Histoire nous fit connaître bien des surprises et des tourments. D’un domaine personnel des rois de France, Marange devient devint propriété des Comtes de Luxembourg (avant 936), puis bourguignonne (1443) et espagnole (1477) avant de devenir française en 1659.
Marange n’était pas un village comme tant d’autres, mais une place forte avancée et presque isolée en territoire ennemi en ces siècles de troubles, où avant d’être française, elle était un bastion luxembourgeois face à Metz et au duché de Lorraine.
La démographie est là pour prouver le passé glorieux de Marange : en 1521, la localité comptait déjà 600 habitants ; en 1789, la population y était d’environ 1000 âmes alors que Pierrevillers n’en comptait que 400, Norroy 650, Saulny 350, St-Privat 300, Ste-Marie 300, Malancourt 200 et Amnéville 30 habitants.
Française depuis plus de trois siècles, Marange-Silvange retrouve son histoire liée à celle de la Lorraine, marquée par les guerres mais aussi par l’industrialisation due à la richesse de son sous-sol.
Une première galerie de mine fut ouverte à Ternel en 1863 suivie d’une autre en fond de vallée, exploitée jusqu’en 1931 pour alimenter les usines de Maizières-lès-Metz. Le 20ème siècle aura été pour Marange-Silvange une période industrielle, succédant ainsi à des siècles d’exploitation agricole principalement axée sur la vigne.
S comme SILVANGE
MARANGE SILVANGE TERNEL
Marange n’a pas toujours été la petite commune tranquille que nous connaissons aujourd’hui !
Comme tout site boisé, les Côtes de Moselle, avec leur relief, abris et éperons rocheux, attirèrent les anciennes populations.
Au lieu-dit « Les Hattes » (huttes, habitations), on a découvert des traces de civilisations préhistoriques, notamment par la présence d’une pierre de serpentine d’une moitié de ciseaux en fer et surtout par l’occupation du terrain en forme de dénivellations, laissant supposer des habitations bien organisées et structurées.
Certaines étymologies gaéliques de nos lieux-dits laissent à penser une occupation continue avant la période romaine, voire gauloise.
Une des hypothèses les plus plausibles est que Marange fut un lieu de culte gaulois lentement assimilé au panthéon romain et finalement dédié au Dieu Mars (Marvia en latin), dieu de la guerre.
On retrouve en effet, dans un écrit daté de 1236, l’appellation de Marvia por Marange. Ce ne serait pas un cas isolé puisque Marville, village du canton de Montmédy, a la même, origine.
Quant à Silvange, orthographié Sylvange jusqu’au milieu du 19ème siècle, prouvant par là son étymologie latine (sylva = forêt), on sait peu de chose sur son origine ; mais son emplacement favorable sur une butte dominant la Moselle et la proximité de la Voie Romaine, ainsi que son appartenance à Rombas jusqu’à la Révolution, nous laisse supposer que ce hameau (qui ne comptait que 73 habitants en 1813), ait pu succéder à un camp militaire romain servant de poste d’observation avancé pour le compte de la garnison de la Tour de Drince.
Les premiers écrits officiels mentionnant Marange datent de janvier 739 et en font la propriété personnelle de Pépin-le Bref.
L’on retrouve Marange sous la coupe carolingienne, lié à Thionville (dont nous ne serons séparés qu’à la Révolution).
L’Histoire nous fit connaître bien des surprises et des tourments. D’un domaine personnel des rois de France, Marange devient devint propriété des Comtes de Luxembourg (avant 936), puis bourguignonne (1443) et espagnole (1477) avant de devenir française en 1659.
Marange n’était pas un village comme tant d’autres, mais une place forte avancée et presque isolée en territoire ennemi en ces siècles de troubles, où avant d’être française, elle était un bastion luxembourgeois face à Metz et au duché de Lorraine.
La démographie est là pour prouver le passé glorieux de Marange : en 1521, la localité comptait déjà 600 habitants ; en 1789, la population y était d’environ 1000 âmes alors que Pierrevillers n’en comptait que 400, Norroy 650, Saulny 350, St-Privat 300, Ste-Marie 300, Malancourt 200 et Amnéville 30 habitants.
Française depuis plus de trois siècles, Marange-Silvange retrouve son histoire liée à celle de la Lorraine, marquée par les guerres mais aussi par l’industrialisation due à la richesse de son sous-sol.
Une première galerie de mine fut ouverte à Ternel en 1863 suivie d’une autre en fond de vallée, exploitée jusqu’en 1931 pour alimenter les usines de Maizières-lès-Metz. Le 20ème siècle aura été pour Marange-Silvange une période industrielle, succédant ainsi à des siècles d’exploitation agricole principalement axée sur la vigne.
Invité- Invité
alain90- president d hippodrome
- Nombre de messages : 37521
Age : 75
Réputation : 570
Date d'inscription : 16/10/2011
Re: Le jeu géographique
SUPER ALAIN ET LES POTOS
EXCELLENT LE NOM DE CE VILLAGE .....
N comme NANTES
EXCELLENT LE NOM DE CE VILLAGE .....
N comme NANTES
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
les amis
NOTOS
Dans la mythologie grecque, Notos ou Notus (en grec ancien Νότος / Nótos, en latin Notus) est la personnification du vent du Sud, l'un des quatre vents directionnels. Réputé humide et violent, il est associé à la fin de l'été et est le vent de la pluie et des tempêtes. Son équivalent romain est Auster.
Selon Hésiode, il est le fils d'Astréos (ou d'Éole, le maître des Vents) et d'Éos (l'Aurore). Il joue un rôle important lors du Déluge de Deucalion, puisque c'est lui que Zeus choisit de déchaîner afin de faire pleuvoir sans relâche sur la Terre.
On place sa demeure dans les terres méridionales d'Éthiopie.
NOTOS
Dans la mythologie grecque, Notos ou Notus (en grec ancien Νότος / Nótos, en latin Notus) est la personnification du vent du Sud, l'un des quatre vents directionnels. Réputé humide et violent, il est associé à la fin de l'été et est le vent de la pluie et des tempêtes. Son équivalent romain est Auster.
Selon Hésiode, il est le fils d'Astréos (ou d'Éole, le maître des Vents) et d'Éos (l'Aurore). Il joue un rôle important lors du Déluge de Deucalion, puisque c'est lui que Zeus choisit de déchaîner afin de faire pleuvoir sans relâche sur la Terre.
On place sa demeure dans les terres méridionales d'Éthiopie.
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
CLAUDIUS
T comme THIONVILLE
Thionville apparaît pour la première fois en 753 dans une chronique relatant le passage de Pépin-le-Bref. «Theodonis Villa» prend rang de palais et les souverains carolingiens y tiennent de grandes réunions politiques et religieuses, tout particulièrement Charlemagne qui y séjourne six fois.
À partir du Xème siècle, Thionville entre dans l'Empire Germanique, puis devient un fief des comtes de Luxembourg au début du deuxième millénaire. Henry le Blondel accorde, en 1239, une charte de franchise à la ville.
Bourguignonne à partir de 1461, dans le cadre des 17 provinces des Pays-Bas, la ville appartient à la maison des Habsbourg en 1477 avant d'être intégrée à l'Empire de Charles Quint lors de son avènement en 1519.
Elle est prise par François de Guise en 1558 mais la France la restitue l'année suivante. Vainement assiégée en 1639, Thionville capitule devant le Grand Condé en 1643 et devient officiellement française en 1659 par le traité des Pyrénées.
L'entrée dans le Royaume de France est bénéfique pour Thionville qui prend, sous le règne de Louis XIV, un important essor administratif et judiciaire tout en développant son rôle militaire primordial. La place forte résiste aux sièges des coalisés en 1792 et des armées prussiennes en 1814 et 1815.
La guerre de 1870 n'épargne pas la ville qui subit d'importantes destructions ; suite au traité de Francfort, elle est annexée pour presque un demi-siècle. Durant cette période, un important aménagement urbain est réalisé après la démolition des remparts. Libérée le 22 novembre 1918, Raymond Poincaré lui remet la Croix de la Légion d'Honneur en 1920.
Occupée de mai 1940 à novembre 1944, les Thionvillois subissent les déportations et les expulsions. Thionville, que Millerand avait baptisé « La Métropole du fer », connaît après guerre une forte croissance grâce au développement de la sidérurgie.
Malgré la crise économique et la fermeture d'Usinor en 1977, Thionville, desservie par un extraordinaire réseau de communications, met en valeur sa situation exceptionnelle sur l'épine dorsale de la Communauté Européenne, à proximité de trois pays avec lesquels des liens historiques et commerciaux existent depuis l'Antiquité.
T comme THIONVILLE
Thionville apparaît pour la première fois en 753 dans une chronique relatant le passage de Pépin-le-Bref. «Theodonis Villa» prend rang de palais et les souverains carolingiens y tiennent de grandes réunions politiques et religieuses, tout particulièrement Charlemagne qui y séjourne six fois.
À partir du Xème siècle, Thionville entre dans l'Empire Germanique, puis devient un fief des comtes de Luxembourg au début du deuxième millénaire. Henry le Blondel accorde, en 1239, une charte de franchise à la ville.
Bourguignonne à partir de 1461, dans le cadre des 17 provinces des Pays-Bas, la ville appartient à la maison des Habsbourg en 1477 avant d'être intégrée à l'Empire de Charles Quint lors de son avènement en 1519.
Elle est prise par François de Guise en 1558 mais la France la restitue l'année suivante. Vainement assiégée en 1639, Thionville capitule devant le Grand Condé en 1643 et devient officiellement française en 1659 par le traité des Pyrénées.
L'entrée dans le Royaume de France est bénéfique pour Thionville qui prend, sous le règne de Louis XIV, un important essor administratif et judiciaire tout en développant son rôle militaire primordial. La place forte résiste aux sièges des coalisés en 1792 et des armées prussiennes en 1814 et 1815.
La guerre de 1870 n'épargne pas la ville qui subit d'importantes destructions ; suite au traité de Francfort, elle est annexée pour presque un demi-siècle. Durant cette période, un important aménagement urbain est réalisé après la démolition des remparts. Libérée le 22 novembre 1918, Raymond Poincaré lui remet la Croix de la Légion d'Honneur en 1920.
Occupée de mai 1940 à novembre 1944, les Thionvillois subissent les déportations et les expulsions. Thionville, que Millerand avait baptisé « La Métropole du fer », connaît après guerre une forte croissance grâce au développement de la sidérurgie.
Malgré la crise économique et la fermeture d'Usinor en 1977, Thionville, desservie par un extraordinaire réseau de communications, met en valeur sa situation exceptionnelle sur l'épine dorsale de la Communauté Européenne, à proximité de trois pays avec lesquels des liens historiques et commerciaux existent depuis l'Antiquité.
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
les amis
ITHAQUE
Ithaque (en grec ancien Ἰθάκη/Ithákê ou Φεάκη/Pheákê, en grec moderne Ιθάκη/Itháki ou Θιάκη/Thiáki pour ses habitants) est une île de la mer Ionienne, à l'ouest de la Grèce continentale et au nord-est de Céphalonie. Elle fait partie de l’archipel des îles Ioniennes et compte près de 3 200 habitants pour une superficie de 96 km21. Sa capitale est Vathy.
Depuis janvier 2011, et le programme Kallikratis, elle forme la partie principale du district régional d'Ithaque, au sein de la périphérie des îles Ioniennes. Auparavant, elle constituait avec l’île de Céphalonie, le nome de Céphalonie dont elle formait une municipalité à part entière. Ithaque est séparée de Céphalonie par un chenal large de 2 à 4 km.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Vathy
D’après l’Odyssée d’Homère, Ulysse était le roi d’Ithaque, île qu’il retrouva après avoir longuement erré en mer, après avoir subi de multiples épreuves. C’est à Ithaque que sa femme Pénélope l’a attendu malgré des prétendants entreprenants, tel Antinoüs. L’étude des interpolations de textes d’époques et de styles différents semble montrer que l’Odyssée constituait à l’origine un parcours initiatique symbolique, transformé par Homère en un récit de voyage géographique rappelant peut-être des courants de navigation antiques entre les Pélasges, les peuples de la mer, les Phéniciens et l’Asie mineure.
ITHAQUE
Ithaque (en grec ancien Ἰθάκη/Ithákê ou Φεάκη/Pheákê, en grec moderne Ιθάκη/Itháki ou Θιάκη/Thiáki pour ses habitants) est une île de la mer Ionienne, à l'ouest de la Grèce continentale et au nord-est de Céphalonie. Elle fait partie de l’archipel des îles Ioniennes et compte près de 3 200 habitants pour une superficie de 96 km21. Sa capitale est Vathy.
Depuis janvier 2011, et le programme Kallikratis, elle forme la partie principale du district régional d'Ithaque, au sein de la périphérie des îles Ioniennes. Auparavant, elle constituait avec l’île de Céphalonie, le nome de Céphalonie dont elle formait une municipalité à part entière. Ithaque est séparée de Céphalonie par un chenal large de 2 à 4 km.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Vathy
D’après l’Odyssée d’Homère, Ulysse était le roi d’Ithaque, île qu’il retrouva après avoir longuement erré en mer, après avoir subi de multiples épreuves. C’est à Ithaque que sa femme Pénélope l’a attendu malgré des prétendants entreprenants, tel Antinoüs. L’étude des interpolations de textes d’époques et de styles différents semble montrer que l’Odyssée constituait à l’origine un parcours initiatique symbolique, transformé par Homère en un récit de voyage géographique rappelant peut-être des courants de navigation antiques entre les Pélasges, les peuples de la mer, les Phéniciens et l’Asie mineure.
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
les potos
H comme HAGONDANGE
Histoire
Des écrits font apparaître l'existence du village de Hagondange dès 1179, date à laquelle il portait le nom de Angodange. Rebaptisé en 1218 Augondange, il devient en 1228 Angoldange pour ne trouver son appellation actuelle qu'en 1869. Totalement détruite par un incendie en 1517, la ville est dévastée en 1546 puis par la Guerre de 30 ans.
A l'époque gallo-romaine, Hagondange était traversée par la voie romaine qui reliait Reims à Trèves et connaissait une activité intense. Témoin de ce passé, la Ville garde une haute-borne, monolithe en pierre jaune, placé à l'époque au croisement des lieux sacrés. La haute-borne est la dernière encore existante dans le Pays messin.
H comme HAGONDANGE
Histoire
Des écrits font apparaître l'existence du village de Hagondange dès 1179, date à laquelle il portait le nom de Angodange. Rebaptisé en 1218 Augondange, il devient en 1228 Angoldange pour ne trouver son appellation actuelle qu'en 1869. Totalement détruite par un incendie en 1517, la ville est dévastée en 1546 puis par la Guerre de 30 ans.
A l'époque gallo-romaine, Hagondange était traversée par la voie romaine qui reliait Reims à Trèves et connaissait une activité intense. Témoin de ce passé, la Ville garde une haute-borne, monolithe en pierre jaune, placé à l'époque au croisement des lieux sacrés. La haute-borne est la dernière encore existante dans le Pays messin.
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
les amis
GRAVELINES
Gravelines (Grevelingen en néerlandais1) est une commune française située dans le département du Nord, en région administrative Nord-Pas-de-Calais.En 2011, la commune comptait 11 470 habitants
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Les armes de Gravelines se blasonnent ainsi : D'or au lion de sable lampassé de gueules, à la bordure endentée du même
La commune de Gravelines, est constituée de quatre lieux :
Gravelines centre : c'est le centre-ville ceint par les fortifications
Les Huttes : c'est l'ancien petit village de pêcheurs, il existait déjà sous l'Ancien Régime. Il se situe à 1 km du centre-ville sur la route de Dunkerque.
Petit-Fort-Philippe : petit hameau qui s'est développé au bord du canal, au cours du XIXe siècle. Il se situe à 1 km du centre-ville au bord de la mer. C'est aujourd'hui la station balnéaire de Gravelines.(mon fief : )
Pont de Pierre : c'est un quartier résidentiel neuf à 1,5 km du centre-ville, autrefois parsemé de fermes.
La centrale nucléaire de Gravelines se situe en bord de la Mer du Nord au nord-est du centre ville.
Situation
GRAVELINES
Gravelines (Grevelingen en néerlandais1) est une commune française située dans le département du Nord, en région administrative Nord-Pas-de-Calais.En 2011, la commune comptait 11 470 habitants
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Les armes de Gravelines se blasonnent ainsi : D'or au lion de sable lampassé de gueules, à la bordure endentée du même
La commune de Gravelines, est constituée de quatre lieux :
Gravelines centre : c'est le centre-ville ceint par les fortifications
Les Huttes : c'est l'ancien petit village de pêcheurs, il existait déjà sous l'Ancien Régime. Il se situe à 1 km du centre-ville sur la route de Dunkerque.
Petit-Fort-Philippe : petit hameau qui s'est développé au bord du canal, au cours du XIXe siècle. Il se situe à 1 km du centre-ville au bord de la mer. C'est aujourd'hui la station balnéaire de Gravelines.(mon fief : )
Pont de Pierre : c'est un quartier résidentiel neuf à 1,5 km du centre-ville, autrefois parsemé de fermes.
La centrale nucléaire de Gravelines se situe en bord de la Mer du Nord au nord-est du centre ville.
Situation
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
A comme Abergement-la-Ronce (39500), Jura
Abergeois, abergeoises
Population (2011) 775 hab.
alain90- president d hippodrome
- Nombre de messages : 37521
Age : 75
Réputation : 570
Date d'inscription : 16/10/2011
Re: Le jeu géographique
E comme Égliseneuve-près-Billom
ville du département Puy-de-Dôme (63).
alain90- president d hippodrome
- Nombre de messages : 37521
Age : 75
Réputation : 570
Date d'inscription : 16/10/2011
alain90- president d hippodrome
- Nombre de messages : 37521
Age : 75
Réputation : 570
Date d'inscription : 16/10/2011
Re: Le jeu géographique
LES POTOS
UHURU
C'est le pic culminant du KILIMANDJARO
Le Kilimandjaro ou Kilimanjaro est une montagne située dans le Nord-Est de la Tanzanie et composée de trois volcans éteints : le Shira à l'ouest, culminant à 3 962 mètres d'altitude, le Mawenzi à l'est, s'élevant à 5 149 mètres d'altitude, et le Kibo, le plus récent géologiquement, situé entre les deux autres et dont le pic Uhuru à 5 891,8 mètres d'altitude constitue le point culminant de l'Afrique. Outre cette caractéristique, le Kilimandjaro est connu pour sa calotte glaciaire sommitale en phase de retrait accéléré depuis le début du XXe siècle et qui devrait disparaître totalement d'ici 2020 à 2050. La baisse des précipitations neigeuses qui en est responsable est souvent attribuée au réchauffement climatique mais la déforestation est également un facteur majeur. Ainsi, malgré la création du parc national en 1973 et alors même qu'elle joue un rôle essentiel dans la régulation bioclimatique du cycle de l'eau, la ceinture forestière continue à se resserrer. En effet, la montagne est notamment le berceau des pasteurs maasaï au nord et à l'ouest qui ont besoin de prairies d'altitude pour faire paître leurs troupeaux et des cultivateurs wachagga au sud et à l'est qui cultivent des parcelles toujours plus étendues sur les piémonts, malgré une prise de conscience depuis le début du XXIe siècle.
UHURU
C'est le pic culminant du KILIMANDJARO
Le Kilimandjaro ou Kilimanjaro est une montagne située dans le Nord-Est de la Tanzanie et composée de trois volcans éteints : le Shira à l'ouest, culminant à 3 962 mètres d'altitude, le Mawenzi à l'est, s'élevant à 5 149 mètres d'altitude, et le Kibo, le plus récent géologiquement, situé entre les deux autres et dont le pic Uhuru à 5 891,8 mètres d'altitude constitue le point culminant de l'Afrique. Outre cette caractéristique, le Kilimandjaro est connu pour sa calotte glaciaire sommitale en phase de retrait accéléré depuis le début du XXe siècle et qui devrait disparaître totalement d'ici 2020 à 2050. La baisse des précipitations neigeuses qui en est responsable est souvent attribuée au réchauffement climatique mais la déforestation est également un facteur majeur. Ainsi, malgré la création du parc national en 1973 et alors même qu'elle joue un rôle essentiel dans la régulation bioclimatique du cycle de l'eau, la ceinture forestière continue à se resserrer. En effet, la montagne est notamment le berceau des pasteurs maasaï au nord et à l'ouest qui ont besoin de prairies d'altitude pour faire paître leurs troupeaux et des cultivateurs wachagga au sud et à l'est qui cultivent des parcelles toujours plus étendues sur les piémonts, malgré une prise de conscience depuis le début du XXIe siècle.
Invité- Invité
Re: Le jeu géographique
U comme USHUAIA
Ushuaia... Nom magique s'il en est, largement diffusé par une émission télévisée. Nom évocateur d'un bout du monde aussi improbable qu'inaccessible. Nom purement mythique, en somme... Et pourtant j'y suis, en chair et en os, pour de vrai ! Je suis arrivé hier soir, au terme d'un vol de plus de deux heures, au départ de Trelew. Bien qu'effectuée de nuit, l'approche d'Ushuaia a été somptueuse : on survole d'abord la masse imposante des Andes enneigées (la cordillère de Darwin), puis on a l'impression de se poser directement sur l'eau du Canal de Beagle. Mais quelques secondes avant que l'avion n'atterrisse, la piste apparaît soudainement, pour notre plus grand soulagement.
La première chose que je remarque en arrivant, c'est que l'aéroport s'appelle curieusement Malvinas Argentinas, bien que les Iles Falkland (Islas Malvinas en espagnol) se trouvent à quelque 500 km d'Ushuaia... La guerre perdue des Malouines (1982) est perçue comme un traumatisme dans l'âme argentine et partout, notamment aux frontières, on revendique la souveraineté sur ces îles britanniques. Las Malvinas son Argentinas...
Avec près de 65.000 habitants, Ushuaia est la capitale argentine de la Terre de Feu (Tierra del Fuego) ; cette immense île de 48.000 km2 est située tout au sud du continent américain, et partagée entre le Chili et l'Argentine. La ville est bordée au sud par un large bras de mer reliant le Pacifique à l'Atlantique, c'est le Canal de Beagle. Plus au sud encore, il n'y a plus que l'île chilienne de Navarino, puis le fameux Cap Horn et enfin l'Antarctique... Ici, à Ushuaia, nous sommes vraiment loin de tout : Buenos Aires est à 3.085 km plus au nord, Paris à près de 13.000 km. Sur la carte, on relève 54° 48' de latitude sud... Ushuaia est ainsi la ville la plus australe du monde, si l'on excepte la base navale chilienne de Puerto Williams (2.500 habitants), de l'autre côté du Canal de Beagle.
Ushuaia1900L'histoire d'Ushuaia est très récente. Elle commence en 1869 avec l'implantation d'une mission anglicane sur les bords du Canal de Beagle, dirigée par le pasteur Thomas Bridges. Mais Ushuaia ne sera officiellement fondée que le 12 octobre 1884. Au début du siècle dernier, ce n'était encore qu'un modeste village, ainsi qu'on peut le voir sur le document ci-contre. Sa première expansion débute en 1902, avec le transfert du bagne qui se trouvait précédemment sur l'Isla de los Estados, et la construction du Presidio, prison qui sera achevée en 1920. Mais en 1947, le président Perón en ordonne la fermeture, et transforme les installations pénitenciaires en base navale (1950). Il faudra attendre le début des années 1970 pour que la ville et le port soient déclarés zone franche par le gouvernement argentin, et qu'un plan de développement industriel y soit créé. Les migrants y affluent alors des quatre coins du pays. Les salaires y sont beaucoup plus élevés que dans le reste de l'Argentine, ce qui a évidemment contribué à l'explosion démographique et urbaine d'Ushuaia. Le tourisme a fait le reste.
Ce matin, je constate que si le temps est clair, le ciel est cependant parcouru de nombreux nuages, comme c'est fréquemment le cas ici. A l'hôtel, la salle du petit déjeuner est panoramique, et je suis émerveillé par le spectacle qu'offre la baie d'Ushuaia. Le port est cerné de montagnes, la chaîne Martial au nord et la partie chilienne de la cordillère de Darwin au sud. Les cimes sont enneigées, bateaux et maisons apportent des touches de couleurs vives, c'est tout simplement superbe ! Partons ensemble à la découverte d'Ushuaia.
Invité- Invité
Page 32 sur 39 • 1 ... 17 ... 31, 32, 33 ... 35 ... 39
Page 32 sur 39
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum